Un tout petit parc, avec une glissoire et des balaçoires, pour les quelques pauvres enfants morts-vivants de la cité... Reflet même de l'innocence bafouée et de la triste mélancolie qui hante notre cité.
En circulant entre les poussièreux rayons de notre grande bibliothèque, on peut sentir d'étranges courents d'air nous traverser le corps. Mais qu'est-ce dont que ces livres qui se déplacent seuls? Ce lieux ne servirait-t-il pas de repaires à des fantômes errants?